L’annulation du quatrième jour d’Air Canada, où la grève de l’équipage de cabine prend une tournure inattendue

L’annulation du quatrième jour d’Air Canada, où la grève de l’équipage de cabine prend une tournure inattendue
Shanin Elliot du syndicat des travailleurs

Air Canada fait face au quatrième jour d’annulation, car le conflit d’emploi en cours entre Air Canada et 10 000 compagnies aériennes, représentés par la Fédération canadienne des employés publics (CUP), a pris une tournure inattendue, et la compagnie aérienne est tombée dans le chaos et la promotion des centaines de milliers de passagers dans le monde.

Les voyages de Dublin ont été annulés pour la quatrième journée consécutive:

  • Montréal AC917@09.20 et AC916 dans Inventive
  • Toronto AC801@09.50 et AC8900 en inventif

La compagnie aérienne a enregistré le bénéfice d’exploitation de CD418M CAD418 M (302,7 millions de dollars) pour le premier semestre de 2025 et était de 7,4% de marge d’exploitation. Ses directives ont été annulées pendant une année entière à la suite du conflit.

La grève, qui a commencé le 16 août 2025, a vu que les tensions augmentent fortement, la situation se transformant vers un désaccord de plus en plus alors que la Fédération remet en question les ordonnances fédérales de retour au travail, ce qui conduit à des accusations illégales et à des menaces de pénalités graves.

Le conflit, qui a enraciné les exigences des meilleurs salaires et de la rémunération pour les travaux du terrain non rémunérés, a éclaté après des mois de négociations suspendues. Le CUP, qui représente souvent la main-d’œuvre, fait valoir que les agents de bord d’Air Canada sont payés des “salaires de la pauvreté”, avec des salaires novices pouvant aller jusqu’à 19 500 euros par an avant les impôts, beaucoup moins que le minimum fédéral au Canada. Le syndicat met également en évidence le manque de salaire pour les tâches critiques telles que les contrôles de sécurité et la montée des passagers, qu’elle effectue avant et après les vols. Air Canada a été confronté à une augmentation avec une augmentation de la rémunération de 38% sur une période de quatre ans et 50% des travaux au sol, mais le CUPE a refusé cela, affirmant qu’il ne parvient pas à s’attaquer à l’inflation ou aux matchs, tels que ceux de Air Transat, où les agents de bord recevront 29,80 euros par heure d’ici 2025.

La situation s’est intensifiée lorsque, seulement 12 heures après le début de la grève, le ministre de l’emploi au Canada Patty a accroché à l’article 107 du droit du travail au Canada, qui a demandé à l’arbitrage contraignant et à l’orientation du Conseil canadien des relations industrielles (CIRB) de transformer le retour au travail. Le CIRB a annoncé la grève illégale le 18 août, ce qui a conduit à l’émergence d’une date limite pour les agents de bord pour reprendre les tâches. Cependant, le président national de la Coupe, Mark Hancock, a annoncé que le syndicat continuerait de frapper et de risquer des amendes jusqu’à des délais. “Si cela signifie que des gens comme moi vont en prison, ce serait le cas”, a déclaré Hancock lors d’une conférence de presse, accusé d’un gouvernement violant les droits constitutionnels des travailleurs et une récompense pour le refus d’Air Canada de négocier équitablement.

Le défi a fondé Air Canada et Air Canada Rouge Trips, où environ 500 000 ont été signalés par l’annulation d’ici le 18 août, affectant 130 000 passagers par jour pendant la pointe des voyages d’été. La compagnie aérienne, qui exécute 700 vols quotidiennes vers 180 villes à travers le monde, a averti que la restauration des opérations normales pourrait prendre jusqu’à 10 jours une fois la grève terminée. Les passagers, y compris une équipe de robots canadiens, ont exprimé des moyens à Séoul et une mariée qui n’est pas en mesure d’atteindre son mariage en Australie, sa frustration, car beaucoup oublient les aéroports comme Toronto Pearson et Montréal Trudeau. Air Canada a fourni des montants et des réserves récupérés, mais en vertu du réglementation de la protection des passagers du Canada, il n’est pas nécessaire de couvrir les dépenses accidentelles telles que les hôtels ou les repas, car les conflits de main-d’œuvre sont hors de leur contrôle.

Le défi de la Fédération a déclenché une controverse plus large, car elle a revendiqué une coupe de conflit d’intérêts qui comprenait le CIRB Maris Trrimupi, qui a occupé le poste de conseiller juridique dans les compagnies aériennes canadiennes de 1998 à 2004. La Fédération a lancé une contestation judiciaire, sur le prétexte que l’article 107 violait la charte canadienne pour les droits et les libérations en réduisant le droit de grève. Les experts du travail avertissent que le conflit peut consacrer un précédent à l’ingérence du gouvernement dans les conflits de travail, avec certaines similitudes dans les questions précédentes, car les dirigeants syndicaux étaient confrontés à la prison pour avoir contesté les ordres de retour au travail. En 1980, un chef du syndicat postal a été emprisonné pour une période de trois mois et, en 1981, le président du CUPE a servi 45 jours pour un défi similaire.

Le PDG d’Air Canada, Michael Rousseau, a exprimé sa déception et a exhorté une solution à réduire les troubles des passagers. Pendant ce temps, le Premier ministre Mark Carney a appelé à une compensation équitable pour les agents de bord, mais a cessé de condamner l’intervention du gouvernement. La position du syndicat a obtenu le soutien de certains groupes de travail, avec des menaces à une grève générale qui se profile à l’horizon si les sanctions sont imposées. Cependant, les groupes d’entreprises, indiquant des dommages économiques au milieu de la pression des tarifs américains, ont soutenu la transition du gouvernement pour déterminer les priorités de la stabilité.

Alors que les lignes de SIT se poursuivent en dehors des principales aéroports canadiens, le conflit ne montre aucun signe immédiat de la décision. Air Canada est retardé par les plans de reprise des vols, car le site de réservation indique l’annulation jusqu’à nouvel ordre. Pour les voyageurs, l’incertitude se poursuit, avec des conseils à la compagnie aérienne contre les visites aéroportuaires, à moins que d’autres réserves ne soient confirmées. La confrontation entre le CUP et Air Canada et le gouvernement fédéral a transformé un conflit de routine d’emploi en une bataille à haut risque, avec des effets de grande échelle sur l’industrie de l’aviation au Canada et les relations commerciales.

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