
Ryanair fait face à une amende de 1,3 million d’euros par la compétition en Italie (AGCM) pour avoir prétendument fourni des informations trompeuses pendant l’anti-monopole dans ses pratiques avec les agences de voyage en ligne (OTA).
La punition, qui équivaut à environ 1,57 million de dollars, représente le dernier chapitre d’une hostilité à long terme entre le transporteur irlandais et les organisateurs italiens, avec des tensions sur les restrictions de Ryanaire envers les OTA.
La décision AGCM, qui a été annoncée le 19 août, découle de l’enquête si les pratiques de Ryanair sont assez limitées à la capacité des OTA à vendre leurs billets, peut-être une concurrence possible et à réduire le choix du consommateur sur le marché de l’aviation en Italie.
L’enquête a commencé en 2023, se concentrant sur la position dominante de Raynire en Italie, car elle gère un large réseau de vols à faible coût. AGCM soupçonnait la compagnie aérienne dans l’utilisation abusive de sa force sur le marché en imposant des restrictions qui empêchent les OTA d’offrir des offres concurrentielles, réduisant ainsi la transparence de la tarification des billets.
Au cours de l’enquête, les autorités italiennes ont mené un raid à l’aube au siège du Ryanaire, qui disent que les documents sans restriction dirigés par la compagnie aérienne n’existaient pas. L’AGCM a décrit les actions de Ryanair comme une “négligence complète”, qui a conduit à une amende de 1,3 million d’euros, le plus haut niveau par pouvoir pour une telle violation.
Ryanair a rapidement répondu, déclarant son intention de faire appel de la décision, en tant que porte-parole de l’amende “non fondée” et AGCM a refusé de fabriquer des allégations sur un plan de travail qui n’est pas présent.
Ryanair a longtemps représenté des réservations directes via son site Web, sous prétexte que cette approche garantit un coût inférieur et une plus grande transparence des passagers.
Cependant, les critiques, y compris les OTA tels que Edreams et sur la plage, affirment que les politiques de Ryanair entravent la concurrence sur le marché en restreignant leur capacité à fournir des voyages avec d’autres services de voyage, tels que les hôtels et la location de voitures.
Ce conflit n’est pas nouveau; En avril 2024, AGCM Ryanair a ordonné de cesser de prévenir les ventes de billets OTA, qui ont été contestées d’éviter l’aviation, se référant à la cour d’appel de Milan, qui a soutenu le modèle de vente directe comme raisonnable. La bataille juridique en cours a des effets plus larges sur l’industrie européenne des voyages, car les OTA jouent un rôle important en aidant les consommateurs à comparer les prix. Si l’appel de Ryanair échoue, il peut faire face à un examen plus minutieux dans toute l’Europe, ce qui peut coûter des millions de compagnies aériennes dans les modifications de la conformité ou des amendes supplémentaires.
Pour les voyageurs, le conflit peut affecter la façon de réserver des vols. Ryanair pour les réservations directes peut limiter les options de comparaison des prix via des plates-formes, ce qui peut augmenter les coûts de ceux qui dépendent des OTA, avec des estimations indiquant des différences de prix allant de 10 à 50 euros par billet lors de la réservation par des tiers.
La position de la compagnie aérienne agressive a également conduit à des critiques pour l’expédition présumée par les OTA, car Ryanair a affirmé que certaines agences imposent des signes pouvant atteindre 117%. Pendant ce temps, les actions AGCM indiquent un engagement à protéger la sélection des consommateurs, bien que Ryanair se dispute finalement avec les passagers en maintenant les prix bas, avec des prix des billets moyens d’environ 40 euros en Italie.
Avec l’élaboration du processus d’appel, avec une audience attendue plus tard cette année, le résultat peut mettre un précédent sur la façon dont les compagnies aériennes et les sociétés OTA interagissent dans toute l’Europe. L’histoire de Rianaire pour les affrontements organisationnels en Italie, y compris une amende de 4,2 millions d’euros en 2021 pour son incapacité à récupérer les voyageurs pendant la crise Covid-19 et une pénalité de 3 millions d’euros en 2019 à induire en erreur les bases de bagages, met l’accent sur la relation aérienne controversée avec les autorités italiennes. Actuellement, il est conseillé aux voyageurs de se réserver directement avec Ryanair pour éviter les frais d’OTA potentiels, bien que ceux qui recherchent des forfaits de voyage collectés puissent faire face à des coûts plus élevés ou des options limitées.